Seulement 13% de la production d’énergie mondiale est d’origine renouvelable
Les revenus des 500 individus les plus riches de la planète dépassent ceux des 416 millions les plus pauvres
Je n’ai rien à ajouter, à commenter…simplement à écouter avec toutes ses oreilles, avec tout son coeur et « essayer d’étreindre l’immense de la vie« …en route vers cette vie où des projets nous attendent, nous rendront heureux et léger…. »aller vers les autres, avec un regard vrai »…
…de notre capitalisme. Nous avons l’illusion de vivre dans une société « bulle », dans un continent » bulle » où rien ne peux atteindre et entamer notre illusion du consumérisme heureux. Les effets collatéraux sont occultés par des lunettes , là sur nos nez et qui sont de la marque « le déni« . Déni de la pauvreté au bas de notre porte, déni de la misère morale de nos anciens, déni du nombre de suicides des agriculteurs, de nos jeunes,déni de nos inconséquences payées par les pays dit du sud, de la destruction de notre environnement….mais on continue, jour après jour à creuser le trou sous nos pieds, peut être n’y tomberons nous pas? Et ça c’est la méchante dernière illusion! Mais il a des remèdes…ouvrons nos yeux ! et rendons nous heureux en nous engageant pour l’intérêt général.
Grosse bataille sur les retraites en ce moment…et que voit cet enfant qui se demande tout simplement …comment cela va de passer pour lui , quand il sera grand…
« ouf, ce n’était qu’un cauchemar, n’est ce pas hein? hein? »
Quand j’étais petite, avant Pâques nous organisions et réalisions toutes sortes d’activités afin de collecter quelques pièces pour aider les enfants qui mourraient de faim. Il y avait aussi la petite boite en carton que j’assemblai avec le sérieux et l’enthousiasme d’un enfant, toutes les pièces que je pourrais y mettre aideront les enfants. Ce drame de la faim montré et expliqué (?!) par les adultes me plongeait dans la perplexité « Ici pour moi tout va bien où presque, et là bas, ils meurent de faim. Pourquoi rien n’est fait rapidement pour ces pauvres enfants si affreusement maigres »…
Les années ont passé et j’ai même changé de millénaire… et pour les enfants franchement, il semble que se soit pire qu’avant. Les dernières informations du front des démunis sont plus qu’alarmantes.
ci dessous un extrait d’un article paru sur le site de www.youphil.com et écrit par Pierre Salignon (ancien directeur général de Médecins Sans Frontières France et spécialiste des questions humanitaires).
La crise économique et financière s’étend, obligeant les associations à relever plusieurs défis. Le premier est d’ordre social et humanitaire. Comment faire face, aujourd’hui et demain, à l’augmentation du nombre de personnes qui tombent et tomberont dans la misère ? Car le nombre de bénéficiaires, comme on les appelle maladroitement, ne cesse de croître.
En France d’abord. Il suffit de se promener en ville pour constater que la population des sans-abris devient plus visible, plus pauvre et plus démunie aussi. Hommes, femmes, enfants et personnes âgées. Aucune catégorie sociale n’est épargnée…
L’association Emmaüs a récemment publiée un rapport alarmant sur la hausse rapide du nombre de ceux qui se retrouvent sans abris, sans ressources. Sans parler de la campagne hivernale des Restaurants du Cœur qui ne désemplit pas : plus 12% de repas servis en 2008.
Cette évolution existe bien entendu aussi dans les pays du Sud, qui sont déjà les plus défavorisés, en Afrique, en Asie et ailleurs.
On parlait il y a un an de plus de 800 millions de personnes souffrant de la faim dans le monde.Sous l’effet conjugué de la crise financière internationale et de l’envolée des prix de certaines denrées alimentaires, ce sont désormais selon les Nations Unies près d’un milliard de personnes qui souffrent de malnutrition.
En Septembre 2008, il y a 6 mois, les Nations Unies avançaient le chiffre de 925 millions, dont plus de 55 millions d’enfants de moins de 5 ans qui souffrent de malnutrition aigue; soit un enfant sur 10 dans le monde.
Le déficit global de financement prévu pour les pays du Sud en 2009 s’élève lui à 700 milliards de dollars selon la Banque mondiale.Les chiffres parlent d’eux-mêmes et annoncent déjà une explosion de la pauvreté et de ses laissés-pour-compte.
Le second défi que rencontrent les ONGs est budgétaire. Comment maintenir les programmes d’assistance existant alors que la collecte de fonds se contracte ? …
On ne peut présumer de se qui va réellement se passer et, souhaitons que la crise favorisera une solidarité de proximité plus importante demain, comme certains analystes le suggèrent. Mais, comme le dit Antoine Vaccaro, Président du (Cerphi),
« l’incertitude liée à la crise actuelle est le pire ennemi de la générosité ».
Restons mobilisé! Faisons plus!
Voici le TOP 7
1. « Les autres donnent pour moi »
2. « Je suis trop sollicitée »
3. « J’ai assez de problème comme ça »
4. « J’ai pas le temps »
5. « Je ne sais pas où ça va »
6. « J’ai pas de monnaie »
7. « ça sert à rien »
tous ces comportements sont le quotidien d’un triste sire… Gauthier Lesire genre de symbole anti-dons mais qui cristalise à lui seul bien des moments « déjà vus ou déjà vécus ». M Lesire a son site et est sur FB (si si!).
S’appuyer sur le cynisme et les contradictions de nos actes par rapport à nos pensées, voilà l’originalité de la campagne du groupe SOS.
Cependant les statistiques ne nous honorent pas vraiment. Jugez en.D’après l’Observatoire de la Fondation de France , par personne et par an:
un américain donne 531€ ; un anglais donne 184€ ; un allemand donne 42€; et un français donne 33€ ; et c’est la France qui a le meilleur dispositif de défiscalisation en Europe. (chiffres=dons hors legs)Philantropie serait un « gros mot »? Pourtant il semble que l’on ait jamais autant parlé de « mécénat », « fondations », « fonds de dotations », RSE, etc… Alors usons et abusons de tous ces dispositifs pour aider les porteurs de projets, les associations, c’est grâce à eux et avec nous -consom’acteurs & donacteurs- que le monde changera.
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Avez vous signez l’appel des femmes? Non? alors c’est simple comme un clic
vous n’êtes pas convaincu(e) , visionnez ce petit film que j’ai incrusté dans un ancien article
ACTIONS pour toute la famille,
SIMPLICITE des idées,
JOIE de réussir tous ensemble,
ECHANGE de NOS bonnes pratiques,
en final ETRE HEUREUX car on l’aura fait
et ensuite on FETE au fond du jardin !
Rejoignez 10 :10
et partout sur la Planète, la communauté 10:10 va s’étendre…Préférence Ethique et sa petite planète y seront car « Il est trop tard pour être pessimiste! »
Une fois n’est pas coutume, voici une petite séquence « actualités ».
YAB lance la campagne 10 :10 c’est-à-dire que chacun s’engage à réduire de 10% ses gaz à effet de serre à partir de 2010 et par des multitudes de gestes simples. Car « c’est maintenant qu’il faut agir » et nous pouvons tous le faire sans attendre des décisions politiques qui souvent ne sont que des pas en avant puis des énormes pas en arrière en fonction des sondages et des futures échéances politiques.
Chacun de nous doit prendre sa vie en main, décider par exemple de ce qu’il veut manger, décider de s’engager maintenant pour nos enfants et petits enfants le tout dans l’optimisme …
On ne va pas attendre 2050 ! »
En plus l’écologie n’est pas plus chère au contraire c’est réapprendre à être plus économe et sans doute avoir plus de temps pour « être bien » avec enfants, amis, famille, j’adore le concept de « sobriété heureuse » mais ce sera pour un prochain article.
La Terre! Quelle merveille de création dont nous sommes devenus…les prédateurs! Je sais bien que le politiquement correct est de parler « positif », de bannir « le catastrophisme et le misérabilisme », mais est ce bien raisonnable ?
Je suggère simplement de quitter notre posture d’autruche et de se lancer avec enthousiasme, audace et gaieté dans un challenge du 7ème type qui serait de protéger et défendre ce qui nous reste de Terre pour un avenir pavé de fleurs et de verdure abreuvées d’eau vive et claire. Je suis une rêveuse pensez vous ? Oui, assurément oui, mais rêveuse dans le sens de la vision à partager avec toutes les bonnes volontés afin de conjuguer à tous les temps les actions de fourmis qui éveillent à une conscience de solidarité « du vivant ». Nous sommes tous liés dans le vivant.
Comme cette réalité omniprésente de cupidité économique est laide ! Est-ce là le seul héritage que nous laisserons aux enfants de la terre, une désolation qui se transformera partout dans le monde en cauchemar « à la Madmax » ? Car la guerre viendra à cause de la faim, et aucun sommet politique ne l’évitera si nous n’agissons pas maintenant pour « le parti de la Terre. »
Dernièrement à une conférence de Matthieu Ricard, il disait si justement « Si le futur ne fait pas mal, ce n’est pas une raison de ne pas se préoccuper des générations futures. »
Une priorité maintenant, car c’est le premier étage de notre pyramide de survie: mettre en oeuvre la démocratie alimentaire. Nous pouvons le faire et se faisant nous reprendrons notre liberté par rapport aux lobbies de la cupidité
Titulaire d’un master 2 en littérature générale et comparée, j’ai fait mes armes en tant que cadre de l’administration hospitalière : protocoles, relations institutionnelles, mise en place de méthodes, suivis de projets. J’ai appris à être l’interface entre la procédure et l’humain.
Formée en ressources humaines et habile conseillère, j’ai désormais fait le choix de mettre mes compétences au service de l’entrepreneuriat. De la gestion des compétences humaines au lancement de projets, avec de la rigueur et de l’organisation tout est possible !
Sans cesse en veille quant aux nouvelles technologies et diffusion de l’information, j’accompagne start-ups et entreprise dans la gestion de leurs communications et plans marketings : rédaction de contenus web, référencement, community management. Nous vivons connectés à des outils de diffusion efficaces pour peu que l’on en connaisse les rouages.
Là où certains voient dans l’administratif et l’organisationnel une contrainte, j’y vois la possibilité de sans cesse analyser l’évolution d’un projet, d’une équipe, et de permettre aux idées de devenir des actions.
Ma devise ?
« La raison d’être d’une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires ! »
Vous souhaitez vous engager dans une démarche de mécénat pour des projets d’intérêt général ou culturel sur votre territoire, nous saurons vous accompagner et vous aider à tisser des liens avec des porteurs de projets qui correspondent à vos valeurs.
Ensemble, nous mettrons en œuvre une démarche de mécénat ou de partenariat avec une organisation d’intérêt général qui vous correspond.
Nous vous présenterons également les différents type de mécénat, car il n’y a pas que des dons financiers, on observe actuellement l’émergence du mécénat de compétences, une autre façon de créer de la valeur ajoutée pour vos salariés.
Il est important aussi de bien connaître les règles de défiscalisations en matière de mécénat.
Tisser des liens entre entreprises et associations est un accélérateur d’innovations et de créativités mais aussi un vecteur de développement d’un territoire qui est sans doute aussi celui de vos salariés et de vos clients. Alors parlons-en et communiquons sur vos partenariats, votre engagement sociétal.
Pourquoi ne pas commencer par la formation de vos responsables ? Ou rencontrons-nous via une « séance découverte » ?
« Les idées ne sont pas faites pour être pensées mais pour être vécues »
André Malraux
Une campagne c’est un effort de fundraising global sur plusieurs années avec des projets et des priorités bien identifiés pour une durée déterminée (plusieurs années), avec un objectif financier ambitieux nécessitant des grands dons. Une campagne est aussi un vecteur de transformation pour l’établissement : elle fédère en interne, elle mobilise des volontaires, elle est source d’innovation.
Nous pouvons vous accompagner tout au long de votre campagne :
Des questions restent sans réponses pour vous comme : Quelle stratégie à moyen et long terme pour quels projets? Comment définir et organiser une campagne de collecte de fonds d’envergure? Quelle est la gouvernance de campagne à mettre en place? Quels moyens à mettre en œuvre ? Comment piloter la campagne de collecte ? Comment cibler des partenaires potentiels ?
Faites confiance à Préférence Ethique pour vous aider à résoudre ces problématiques, c’est notre métier.
Rencontrons-nous pour en parler via « une séance découverte » ou
pourquoi ne pas commencer par la formation de vos responsables ?
« Il ne sert à rien de dire « Nous avons fait de notre mieux ». Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire. »
Sir Winston Churchill
Vous souhaitez faire le point sur votre organisation, nous pouvons, ensemble, mener une démarche projet qui vous permettra de repositionner ou (re) définir vos fondamentaux. Une assistance par une personne externe à votre organisation sera un gain de temps et un accélérateur de mise en œuvre. Préférence Ethique vous aidera à construire étape par étape votre stratégie, et préparera avec vous les changements à mettre en œuvre.
Nous vous accompagnons dans vos démarches de fundraising, plus particulièrement si vous souhaitez élargir votre cible donateurs vers les grands donateurs, les entreprises, fondations. Nous pourrons construire ensemble un plan de collecte dans le respect de vos fondamentaux.
Nous vous proposons aussi de mettre en place des outils qui optimiseront votre collecte, votre communication et votre pilotage comme un tableau de bord, une base de données pour fidéliser vos nouveaux donateurs et une présence active sur les réseaux sociaux. Visibilité, transparence et bonne gestion sont des atouts majeurs vis à vis des donateurs et des entreprises.
Par notre travail en commun, vous aurez des réponses aux problématiques soulevées peut être régulièrement par votre association comme :
Quels sont les objectifs pour le futur à 1 an, à 3 ans ? Qui sont nos concurrents ? Comment augmenter nos ressources ? Comment répondre aux appels à projets des fondations ? Comment améliorer notre communication ? Comment mettre en place et structurer un tableau de bord pertinent ? Comment administrer ma collecte comme les courriers donateurs ?
Et bien d’autres choses encore pour faire progresser vos projets !
Rencontrons-nous pour en parler via « une séance découverte » ou renforcez vos compétences avec notre parcours de formation.
«Dans la vie, il n’y a pas de solutions. Il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions suivent »
Antoine de Saint-Exupery
J’ai couru le monde en tant que directrice export d’une marque de bijoux. Cette expérience outre la découverte de tous les continents et de leurs problématiques économiques et culturelles m’a permis de développer mes talents en négociations commerciales et d’enrichir chemin faisant mon carnet d’adresses.
Le Japon, pays de contrastes fascinants, alliant traditions rigoureuses et modernisme, beauté des jardins zen, culture ancestrale a déclenché une véritable passion qui m’a poussée à créer une entreprise de papeterie japonaise.
Pour des raisons familiales, j’ai changé à nouveau de cap pour rejoindre le monde associatif. J’ai contribué à la communication et à la recherche de fonds, en partenariat avec la Croix Rouge Française, pour la mise en place de la plateforme téléphonique « Croix Rouge écoute ». Cette nouvelle activité extrêmement enrichissante humainement m’a amenée à me former au fundraising. Passionnée de peinture, j’ai également suivi un cursus d’histoire de l’art.
Je suis titulaire du Certificat Français du Fundraising, première formation de haut niveau dans le secteur de la collecte de fonds et enregistrée au RNCP comme Certification professionnelle de niveau I (Fr) et de niveau 7 (Eu) en tant que Directeur (trice) de la collecte de fonds et de mécénat.
Diplômé en 2010 de l’Institut d’Études Politiques de Strasbourg, filière Relations Internationales, je parle couramment portugais et anglais à la suite d’une année d’études à Rio de Janeiro et d’une expérience professionnelle d’un an à Melbourne. Par mes voyages je suis touché par des causes universelles et particulièrement intéressé par les initiatives d’entrepreneuriat social dans les domaines de la création culturelle, de la communication, la création web et le commerce équitable.
Ayant toujours nourri un net intérêt pour les nouvelles technologies de l’internet, j’ai été amené à développer à des fins personnelles ou professionnelles un nombre conséquent de blogs, sites, affiches publicitaires et autres supports graphiques. Actuellement dirigeant du site internet La Carte des Colocs, en passe de devenir le principal portail français dédié à la colocation, j’assiste Préférence Ethique pour tout le travail de création numérique, notamment le développement web.
Une longue expérience en Gestion, management de projets, systèmes d’informations acquise au sein d’un grand groupe industriel, est maintenant au service des structures sans but lucratif. Mon engagement au sein d’une ONG et ma formation à l’ESSEC, grâce à l’Association Française des Fundraisers, complètent mes compétences.
Ce qui me passionne : mettre en œuvre des stratégies de collecte de fonds et de mécénat au profit de projets contribuant à une Planète plus apaisée et plus vivable.
Le monde change vite, très vite et tout est connecté ! Les entreprises ne pourront plus faire l’impasse des associations, des ONG, des entrepreneurs sociaux et inversement. Je m’inscris comme passerelle entre les deux univers afin de créer du sens et tisser des liens.
Mon emblème, la feuille de ginkgo, « l’arbre au mille écus ». Cette feuille symbolise l’orientation vers le bien collectif, le renouveau, la félicité et la résistance.
Je suis titulaire du Certificat Français du Fundraising, première formation de haut niveau dans le secteur de la collecte de fonds et enregistrée au RNCP comme Certification professionnelle de niveau I (Fr) et de niveau 7 (Eu) en tant que Directeur (trice) de la collecte de fonds et de mécénat.